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### Blood's Wedding ###
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scilia
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MessagePosté le: 09 Mai 2003 04:03 pm    Sujet du message: Blood's Wedding Répondre en citant

Comme promis Fio, voici quelques fics pour remplir ce si joli site. Je commence par ma dernière fic.

Scilia

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Blood’s Wedding


Si on m’avait dit que j’assisterai à cela un jour, je n’y aurais jamais cru. Lui qui semblait si froid, renfermé, a changé du tout au tout dès la minute ou il a posé les yeux sur elle. Ceci dit, cela a pris du temps avant qu’il ne se décide à, ne serait-ce qu’oser, l’inviter à dîner. Je ne le comprends pas par moments. Evidement, il n’a pas eu une vie facile avec toutes ces missions pour le KGB, ces années ou il était mercenaire à la solde de celui qui payait le plus. Oh, il lui en est arrivé des aventures à notre ami Kerensky mais celle-là, je crois qu’il ne l’avait vraiment pas vu venir. Enfin si, vous allez me dire que lorsqu’on s’engage de cette manière, on le sait forcement mais… comment dire… je ne sais pas si j’aurais un jour le courage... non, cela ne tient pas à du courage… je crois que je ne trouverais jamais la femme qui me convient, c’est tout. J’aime trop flirter, regarder les jolies femmes pour me dire que je devrais passer le reste de ma vie avec une seule pourtant, avoir des « bambinos » ne me déplairait pas mais bon, c’est la vie.

L’église se remplit au fur et à mesure que les minutes passent. Nous ne sommes pas nombreux, à peine une trentaine et c’est principalement la famille de la mariée. Je croise le regard de Largo, bombardé garçon d’honneur et témoin, au même titre que moi. Joy n’est pas loin de lui, dans un superbe ensemble crème qui met son ventre rond en valeur. Depuis le temps qu’ils se cherchaient tous les deux ! Je suis heureux pour mes amis. Ils attendent leur premier enfant et rayonnent de bonheur. Je n’ai jamais vu Largo aussi resplendissant depuis que Joy lui a annoncé qu’elle avait fait erreur. C’était quelques semaines après leur première rupture. Largo était avec moi à Venise, Joy avait été retenu à New York. Elle était malade comme un chien, une gastro-entérite si j’ai bonne mémoire. Elle voulait venir mais Largo a insisté, elle n’était vraiment pas en état de voyager. J’étais chargé de sa sécurité mais… je sais ce que vous pensez et non, ce n’était pas une histoire de femmes. Ils étaient plus nombreux que nous, voilà tout. Largo a passé une semaine aux soins intensifs. La balle avait frôlé le cœur, il a eu de la chance une fois de plus.

Le père Maurice attend patiemment dans un coin, il échange quelques mots avec Kerensky qui à l’air aussi détendu que d’habitude. Je crois que rien ne lui fait peur à cet homme. Je ne l’ai jamais vu paniquer pourtant il en aurait eu l’occasion. Je me demande comment il prend ce nouveau départ dans sa vie. Je sais, même s’il n’en a jamais rien dit, qu’il a eu beaucoup de mal à digérer la trahison et la mort de Marissa. Il s’était renfermé sur lui-même pendant quelques jours avant de redevenir le Georgi que nous appréciions tous. Elle est arrivée deux ans plus tard, pour remplacer Joy qui ne pouvait être à la fois Mme Winch et la garde du corps de Largo. Enfin, elle le garde d’une autre façon son corps, si vous voyez ce que je veux dire. Sullivan me fait un signe de la tête quand il passe à ma hauteur, c’est le seul membre du big board que Kerensky a toléré. Il est accompagné de sa secrétaire, Cathy Blackmann. Depuis quelque temps, je soupçonne John de ne pas lui confier que son courrier à examiner. Il a raison, c’est une femme qui lui convient parfaitement. Encore un qui a eu du mal à se remettre de sa liaison, aussi brève que dangereuse, avec Céleste… je ne me souviens plus de son nom. Je crois que c’est au moment même ou John m’a demandé de l’aide que nous sommes devenus amis. Quelque chose nous liait et je n’aurais jamais cru que cela pu être la drogue. C’est du passé, il s’en est sorti, c’est un homme neuf.

Tout le monde est installé depuis quelques minutes. J’ai rejoins Largo et Kerensky près de l’autel. Mon smoking crème semble un peu choquer certaines personnes mais il y a longtemps que je ne fais plus attention à ces regards sur moi. Je regrette un peu que Vanessa n’est pu se joindre à nous. Je n’ai plus de nouvelles depuis ma greffe de rein. Elle m’a sauvé la vie et, comme à son habitude, a disparu dès qu’elle l’a pu sans un mot, sans laisser d’adresse. Je sais que je la recroiserais quelque part, c’est notre destin mais j’aurais aimé… j’aurais aimé savoir ce que c’était d’avoir une vraie famille. De connaître la chaleur maternelle, le bonheur de se chamailler entre frère et sœur au lieu de voler pour subvenir à nos besoins. Je n’en veux pas à ma mère mais je n’arrive pas à la comprendre.

La musique rituelle commence. C’est un des moines de Sarjevane qui joue, il a accompagné le père Maurice qui a accepté de célébrer ce mariage même si Georgi est orthodoxe et la mariée catholique. J’ai toujours trouvé ces histoires de religion ridicules. Pourquoi un musulman n’aurait-il pas le droit de se marier à une catholique, une juive ou une orthodoxe s’ils s’aiment ? L’important ce sont les sentiments, les choses qu’ils vont partager au fil de leur vie de couple pas d’où ils sont issus. La porte du fond de l’église s’ouvre. Kerensky jette un regard océan sur ce petit passage, plongé dans la pénombre, attendant de découvrir celle qui va devenir sa femme. Elle sourit en rejoignant son père qui lui tend le bras. Elle lui pose un baiser sur la joue, ils échangent quelques mots. Je crois qu’ils sont aussi émus l’un que l’autre. Je surprends un regard tendre de Joy, qui nous fait face puisqu’elle est demoiselle d’honneur, pour Largo. Elle doit repenser à leur propre mariage mais au premier ou au deuxième ne puis-je m’empêcher de me demander. Oui, oui, ils se sont marié deux fois. La première fois, sur une plage des caraïbes avec uniquement Georgi et moi et pour la deuxième, un mariage fastueux dans les règles de l’art. Les journaux s’en sont donnés à cœur joie bien évidemment mais le célèbre Largo Winch ne pouvait pas se marier sans que cela ne passe inaperçu. Etrangement, les journalistes n’ont quasiment pas sauté sur l’occasion qui leur était donné de faire de Joy une arriviste, se servant de son métier pour mettre le grappin sur Largo.

Ils sont arrivés au bout de l’allée, devant l’autel. Je ne peux m’empêcher de penser qu’elle est époustouflante dans sa robe de satin, un bustier de perle découvre ses épaules laiteuses. Ses cheveux de feu ont été relevés en un savant chignon et quelques mèches s échappent de sa coiffure. Je n’y connais rien mais j’imagine que son coiffeur a dû trouver cela artistique, il n’a pas eu tort. Un grand voile la suit, tenu par ses deux nièces habillées de jolies petites robes blanches. Elle a un sourire magnifique et l’homme à son bras avance fièrement. Son père a un smoking qui doit dater de son mariage vu sa coupe.

Georgi s’avance pour l’accueillir. Dans son smoking noir sur mesure, ses cheveux blonds retenus par un catogan, il ressemble un peu au prince charmant des contes pour enfants. J’entends le père de la mariée lui dire qu’il lui confie son plus grand trésor. Kerensky promet d’en prendre le plus grand soin et de la rendre heureuse. Elle sourit. Son père va s’asseoir près de sa femme tandis que le couple s’approche du père Maurice qui les entoure d’un regard bienveillant.

La cérémonie commence mais je n’y prête guère attention. Il faut dire qu’il y a dans la salle quelques jolies femmes que je ne me lasse pas de regarder. Largo me donne un léger coup de coude pour me rappeler à l’ordre. Il me connaît, il sait que je ne résiste pas à la tentation. Je reporte mon attention sur le père Maurice. « M. Georgi Anton Kerensky voulez-vous prendre pour épouse Melle Sarah Amanda MacLane ? ». La réponse ne tarde pas. C’est un « oui » clair et sûr qui retentit dans l’église. J’aperçois le sourire ravi du cousin du marié, Dimitri Kerensky, le moine qui avait passé quelques années à Sarjevane. Il doit s’imaginer que Georgi va mener une vie moins… dissolue grâce à son mariage. J’en suis moins certain que lui, Sarah n’a pas l’intention d’arrêter de protéger Largo dans l’immédiat. Je sais que Kerensky est contre mais, apparemment, il n’a pas eu le dessus sur cette question là, ce qui présage des discussions intéressantes dans le futur. Mais non, je ne suis pas méchant, juste content de voir qu’il n’épouse pas une femme qui dira amen à tout ce qu’il voudra.

La voix du père Maurice résonne de nouveau « Mesdames et Messieurs, je vous présente M. et Mme Georgi Kerensky ». Tout le monde applaudit, moi y compris, mais au fond de moi, je suis triste. Je ne connaîtrais jamais ce genre de chose et j’ai un goût de nostalgie en bouche. Non pas qu’ils ne fassent plus partie de la famille hétéroclite que nous formons mais parce que les choses seront différentes. Elles l’ont déjà été quand Largo et Joy se sont mariés mais… oui, vous avez raison, quelque part je suis jaloux de leur bonheur à tous. D’une voix espiègle, le père Maurice rajoute le rituel « Vous pouvez embrasser la mariée ». Georgi s’approche de celle qui est devenue sa femme et l’embrasse tendrement en un long baiser, qui semble ne jamais finir, sous les cris amusés de la famille et des amis. Pour ma part, je n’ai qu’une seule envie, fuir cette église et ce bonheur éclatant. Je pousse un long soupir qui ne passe pas inaperçu à Largo qui pose sa main sur mon épaule pour me réconforter. Il connaît mes pensées et me dédit un léger sourire pour me dire que je ne suis pas seul malgré les apparences.

Je suis les jeunes mariés qui remontent l’allée avec Susie, la sœur de Sarah à mon bras. Ma cavalière officielle étant assise parmi les invités. Tout le monde se presse pour les féliciter, les embrasser, leur souhaiter le même bonheur qu’untel, un beau bébé dans l’année, … Kerensky en papa ? Je ne le voyais déjà pas marié mais père… c’est encore plus étrange ! Pourtant cela arrivera, c’est ce que je leur souhaite. J’espère bien avoir l’occasion de voir Georgi changer son bébé pour la première fois, le spectacle promet d’être intéressant. J’arbore un léger sourire rien qu’à cette idée.

Ils sont sur les marches de l’église. Je leur lance du riz et des roses à l’instar de toute l’assemblée. Il me semble que c’est Joy qui a concocté ce mélange avec Susie. Je me mets un peu à l’écart de toute cette agitation, m’adossant contre le mur froid de l’église. Si je fumais, je crois que j’allumerais une cigarette. Je fouille dans mes poches à la recherche d’un chewing-gum, évidemment mes poches sont vides.

Du coin de l’œil, je vois Georgi et Sarah se faire photographier. Les photos de groupe seront après… tant mieux, cela me laisse un peu de temps pour chasser mes regrets. Ma cavalière vient me rejoindre mais je ne sais pas quoi lui dire alors je reste silencieux, observant Joy et Sullivan discuter. Largo fait l’imbécile pour amuser les deux filles de Susie. Tous les gens que je vois sont heureux d’être là, le soleil brille, la mariée est superbe, le marié contemple sa femme avec des yeux de merlans frits et moi, je suis sur le côté, espérant un jour connaître le même bonheur.

Mon regard se porte inconsciemment sur une voiture qui passe dans la rue. Elle n’a rien de particulier pourtant, elle est bleue, vitres teintées, allure normale. Je ne sais pas pourquoi elle a attiré mon regard. On m’appelle pour la photo avec les témoins. Je me mets à la droite de Sarah, l’embrasse et lui glisse dans l’oreille qu’elle est une mariée magnifique et que je l’aime. Pourquoi lui dire cela ? J’ai vraiment des idées bizarres aujourd’hui. Largo, Joy et Susie prennent place autour de nous. On nous prend en photo, j’ai l’impression que le temps ne passe pas. Kerensky dit à Largo qu’il comprend mieux ce qu’il doit ressentir à chaque réception. Georgi est heureux, je le vois aux petites rides qu’il a autour des yeux. Quelqu’un nous dit de sourire, un flash de plus crépite.

La voiture est maintenant arrêtée, elle s’est garée en face de nous. Je n’ai vu personne en descendre mais il est vrai que mon attention était tournée vers mes amis. Elle redémarre et s’en va comme si elle s’était aperçue que je la regardais. Quelqu’un lance une plaisanterie et tout le monde rit. Les gens forment une haie de roses, je crois avoir entendu dire Susie que cela portait bonheur. Georgi et Sarah s’engagent dessous, ils s’arrêtent pour s’embrasser, les flashs fusent encore. Ils reprennent leur marche et sont presque arrivés au bout de la haie. Je tiens le dernier arceau avec Joy. Largo est près d’elle, Susie est de mon coté.

La voiture que j’ai remarquée tout à l’heure repasse devant nous. La vitre arrière s’ouvre, un fin tube noir en émerge et tire deux coups de feux. Je ne comprends pas sur le moment. Tout le monde a l’air d’aller bien. Mes yeux se posent tour à tour sur Largo, Joy, Susie, Kerensky et enfin Sarah. Je retiens mon souffle. Sur sa magnifique robe blanche, deux taches rouges qui ne cessent de grandir. Sarah lève les yeux sur Georgi, elle veut lui dire quelque chose mais aucun son ne franchit ses lèvres. Je la vois qui tombe, ses jambes ne la soutiennent plus. Kerensky la prend dans ses bras. Il semble soudain perdu, lui qui est toujours si prompt à réagir, lui qui ne perd jamais son sang froid, il n’arrive plus à faire un geste. Il contemple sa femme qui se meurt entre ses bras. Cette journée devait être une journée de joie, de bonheur mais elle vient de se transformer en cauchemar. Largo a déjà prit son portable pour appeler une ambulance, Joy fait de même mais pour appeler la police. Deux hommes du service de sécurité se sont lancés à la poursuite des tueurs. J’entends Kerensky rassurer Sarah en lui disant que tout va bien se passer, qu’elle sera soignée dans le meilleur hôpital de New York. Sur tous les visages la même expression de stupeur, ils ne comprennent pas ce qui vient de se passer. Pourquoi a-t-on voulu tuer une jeune mariée si brillante, pourquoi détruire un couple si prometteur ? Je le sais, Joy et Largo aussi. Kerensky a toujours eu des ennemis cachés dans l’ombre, qui n’attendaient qu’un événement de ce genre pour se venger de lui. Il m’en avait parlé indirectement, se demandant si le service de sécurité était suffisant, si le fait de ne pas publier de bans et de ne pas informer la presse garantirait qu’il n’arriverait aucun événement de ce genre. Nous avions tous tort, nous avons baissé notre garde trop tôt.

Le silence est entrecoupé de sanglots. Je suis près des mariés mais je ne peux strictement rien faire. Je suis impuissant comme tous ceux qui sont ici. J’entends Sarah parler à son mari « Tu es la meilleure chose qui me soit arrivée Georgi ». Kerensky s’empresse de lui répondre qu’elle ne doit pas abandonner, qu’elle doit vivre, s’accrocher, mais je vois déjà un voile noir au fond des yeux émeraude de Sarah. Elle sait, nous savons.

La sirène de l’ambulance se fait entendre dans le lointain. « Georgi… ne… se sera difficile pour toi mais… (elle réprime une grimace de douleur)… je serais toujours avec toi, là » explique Sarah en désignant le cœur de Kerensky du doigt. Quelques mots s’échappent encore de ses lèvres «Ya loublou tsiber ». Il la regarde étonné, elle vient de lui dire « Je t’aime » dans sa langue natale. Il lui murmure la même chose en irlandais « Tha gaol agam ort ». Sarah sourit et caresse tendrement sa joue avant que sa main ne retombe lourdement sur le sol.

Je regarde la scène comme si je la voyais, confortablement installé, devant mon téléviseur. Ce n’est pas possible, elle ne peut pas mourir le jour de son mariage ! J’ai envie de lui hurler de se réveiller mais je ne peux que voir Kerensky la serrer contre lui sans mot dire. Ses yeux sont secs mais je sais qu’il pleure à l’intérieur. Cette phrase me semble idiote et pourtant, je le connais trop bien pour ne pas savoir ce qu’il ressent, ce qu’il pense. Son être tout entier semble crier vengeance et je sais, que cela prenne deux jours ou vingt ans, qu’il l’obtiendra.

Les ambulanciers arrivent enfin et s’occupent de Sarah mais un discret signe de l’un d’eux confirme ce que nous savions tous. Susie s’est effondrée dans les bras de son mari, les parents de Sarah semblent dans une autre dimension, Largo tient Joy dans ses bras. Il réalise ce qu’il aurait pu perdre. Georgi regarde l’ambulance partir avec le corps de Sarah. Son regard est celui d’un homme à qui la vie vient de jouer un tour cruel. Sa chemise est pleine de sang, ses cheveux blonds se sont échappés de son catogan et lui donne un air hirsute. Il regarde l’assemblée sans dire un mot avant de s’éloigner vers sa voiture.

Ni Largo, Joy ou moi ne savons quoi lui dire pour le retenir. Ni Largo, Joy ou moi, ne l’avons vu depuis ce jour. Cela fait deux semaines. Il n’est pas chez lui, n’a jamais remis les pieds au bunker. Je suis certain qu’il traque celui qui a tué sa femme et je suis aussi certain qu’il reviendra près de nous, sa famille, ses amis, une fois qu’il aura réussi sa mission. Il n’est pas venu à l’enterrement de Sarah, du moins, aucun de nous ne l’y a vu mais cela ne nous a guère étonnés. Il a fait envoyer une splendide couronne de camélias, les fleurs préférées de Sarah, sur laquelle était inscrit « A ma femme, éternellement ».

FIN

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fio
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MessagePosté le: 10 Mai 2003 01:19 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Scilia, elle est superbe ta fic. Je pense bien que je vais m'ennuyer de Sarah, elle était si présente dans tes autres fics. Mais tout ca, ca va laisser la porte ouverte à Kerensky pour trouver les tueurs, se venger et peut ëtre plus tard trouver une autre fille, s'il arrive a oublier sa Sarah...

J'adore ta manière de te mettre dans la peau de Simon. Au début je ne savais pas que c'était lui qui racontait ca. Et tout ces détails...c'est tellement facile de visualiser la fic, il manque juste l'odeur du parfum des roses...


Pour les autres qui l'auraient lu, n'hésitez pas a y mettre vos commentaires aussi.
Merci
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Kat
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MessagePosté le: 18 Nov 2003 08:48 pm    Sujet du message: Répondre en citant

J'imagine que ca doit faire plaisir à l'auteur de voir que sa fic a été lue... et beaucoup appréciée icon_biggrin.gif icon_biggrin.gif En plus, j'avais déjà eu ce genre d'idée de scénario pour écrire, mais je n'en avais rien fait, donc je suis toute contente de lire ce récit!!!
Voila voila icon_cool.gif
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Invité




MessagePosté le: 24 Mar 2004 06:41 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Nooooooooooooooooooooooooooooooooon ! Mais c'est injuste ! Faire tant de mal à mon Russe ! Cruelle ! N'as-tu pas honte icon_sad.gif icon_smile.gif ?! Mon dieu, et maintenant je doute ! Vais-je réussir à lui faire oublier sa femme ? C'est trop triste ! En fait elle est pas morte ! L'ambulance l'emporte, elle sera récupérée par le nouveau KGB, dans le coma, pour servir d'elle comme moyen de pression sur Kerensky ! Mais il la retrouvera ! Na ! C'est même pas vrai d'abord qu'il en aimera une autre !
Et voilà comment une fic peut vous faire tomber en dépression... C'était bien quand même icon_wink.gif !
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